Comme le disait Dame Cicely Sauders, une pionnière des
soins palliatifs, « quand il n’y a plus rien à faire, tout reste
à faire ». Ainsi, la pratique des soins palliatifs est constituée d’un savoir, d’un savoir-faire et d’un savoir-être
propres à cette démarche dont nous traiterons en détail
dans les pages suivantes. Les soins offerts en fin de vie
visent le bien-être global du résident et le maintien d’une
qualité de vie optimale. De plus, ces soins exigent de
considérer le résident avec toute la dignité que commande sa
condition humaine, même quand ont presque disparu les
attributs qui lui confèrent le statut de personne, tels que la
conscience de soi et celle d’autrui, ou encore ses capacités
relationnelles.
Il est facile de se détourner de l’essentiel, lorsqu’il s’agit
de soins de confort, notamment avec le raffinement de
l’approche pharmacologique qu’il est possible d’instaurer
chez les personnes mourantes. Il est primordial, avant
d’aller plus loin, de rappeler certains éléments de réflexion
de Léveillé :
Mais qu’est-ce que soigner ? C’est « avoir soin », c’est
« prendre soin ». Et prendre soin d’une personne, c’est
être préoccupé par toutes les dimensions de son être.
Lorsque nous donnons cette portée à nos soins, nous ne
pouvons faire autrement, ce faisant, que d’accompagner le résident dans cette étape si importante de sa vie.
Mais, qu’est-ce qu’accompagner ? Accompagner, c’est
« aller quelque part » avec quelqu’un. C’est « être avec ».
Or, y a-t-il un temps plus intime et plus privilégié pour
« être avec » que tous ces moments où nous prodiguons
des soins à quelqu’un qui va mourir ? Réalisons-nous
bien que les soins que nous donnons sont une période
privilégiée d’accompagnement ? […]
Ces soins de confort comprennent une panoplie d’interventions qui permettent à l’infirmière de deviner, de
détecter, de pressentir et d’identifier les inconforts ainsi
que de proposer, d’appliquer voire même d’inventer des
solutions pour les prévenir ou y remédier. (Léveillé, 2003)
Comme le disait Dame Cicely Sauders, une pionnière des
soins palliatifs, « quand il n’y a plus rien à faire, tout reste
à faire ». Ainsi, la pratique des soins palliatifs est constituée d’un savoir, d’un savoir-faire et d’un savoir-être
propres à cette démarche dont nous traiterons en détail
dans les pages suivantes. Les soins offerts en fin de vie
visent le bien-être global du résident et le maintien d’une
qualité de vie optimale. De plus, ces soins exigent de
considérer le résident avec toute la dignité que commande sa
condition humaine, même quand ont presque disparu les
attributs qui lui confèrent le statut de personne, tels que la
conscience de soi et celle d’autrui, ou encore ses capacités
relationnelles.
Il est facile de se détourner de l’essentiel, lorsqu’il s’agit
de soins de confort, notamment avec le raffinement de
l’approche pharmacologique qu’il est possible d’instaurer
chez les personnes mourantes. Il est primordial, avant
d’aller plus loin, de rappeler certains éléments de réflexion
de Léveillé :
Mais qu’est-ce que soigner ? C’est « avoir soin », c’est
« prendre soin ». Et prendre soin d’une personne, c’est
être préoccupé par toutes les dimensions de son être.
Lorsque nous donnons cette portée à nos soins, nous ne
pouvons faire autrement, ce faisant, que d’accompagner le résident dans cette étape si importante de sa vie.
Mais, qu’est-ce qu’accompagner ? Accompagner, c’est
« aller quelque part » avec quelqu’un. C’est « être avec ».
Or, y a-t-il un temps plus intime et plus privilégié pour
« être avec » que tous ces moments où nous prodiguons
des soins à quelqu’un qui va mourir ? Réalisons-nous
bien que les soins que nous donnons sont une période
privilégiée d’accompagnement ? […]
Ces soins de confort comprennent une panoplie d’interventions qui permettent à l’infirmière de deviner, de
détecter, de pressentir et d’identifier les inconforts ainsi
que de proposer, d’appliquer voire même d’inventer des
solutions pour les prévenir ou y remédier. (Léveillé, 20
Comme le disait Dame Cicely Sauders, une pionnière des
soins palliatifs, « quand il n’y a plus rien à faire, tout reste
à faire ». Ainsi, la pratique des soins palliatifs est constituée d’un savoir, d’un savoir-faire et d’un savoir-être
propres à cette démarche dont nous traiterons en détail
dans les pages suivantes. Les soins offerts en fin de vie
visent le bien-être global du résident et le maintien d’une
qualité de vie optimale. De plus, ces soins exigent de
considérer le résident avec toute la dignité que commande sa
condition humaine, même quand ont presque disparu les
attributs qui lui confèrent le statut de personne, tels que la
conscience de soi et celle d’autrui, ou encore ses capacités
relationnelles.
Il est facile de se détourner de l’essentiel, lorsqu’il s’agit
de soins de confort, notamment avec le raffinement de
l’approche pharmacologique qu’il est possible d’instaurer
chez les personnes mourantes. Il est primordial, avant
d’aller plus loin, de rappeler certains éléments de réflexion
de Léveillé :
Mais qu’est-ce que soigner ? C’est « avoir soin », c’est
« prendre soin ». Et prendre soin d’une personne, c’est
être préoccupé par toutes les dimensions de son être.
Lorsque nous donnons cette portée à nos soins, nous ne
pouvons faire autrement, ce faisant, que d’accompagner le résident dans cette étape si importante de sa vie.
Mais, qu’est-ce qu’accompagner ? Accompagner, c’est
« aller quelque part » avec quelqu’un. C’est « être avec ».
Or, y a-t-il un temps plus intime et plus privilégié pour
« être avec » que tous ces moments où nous prodiguons
des soins à quelqu’un qui va mourir ? Réalisons-nous
bien que les soins que nous donnons sont une période
privilégiée d’accompagnement ? […]
Ces soins de confort comprennent une panoplie d’interventions qui permettent à l’infirmière de deviner, de
détecter, de pressentir et d’identifier les inconforts ainsi
que de proposer, d’appliquer voire même d’inventer des
solutions pour les prévenir ou y remédier. (Léveillé, 2003)
Comme le disait Dame Cicely Sauders, une pionnière des soins palliatifs, « quand il n’y a plus rien à faire, tout reste à faire ». Ainsi, la pratique des soins palliatifs est constituée d’un savoir, d’un savoir-faire et d’un savoir-être propres à cette démarche . Les soins offerts en fin de vie visent le bien-être global du patient
et le maintien d’une qualité de vie optimale. De plus, ces soins exigent de considérer le patient avec toute la dignité que commande sa condition humaine, même quand ont presque disparu les attributs qui lui confèrent le statut de personne, tels que la conscience de soi et celle d’autrui, ou encore ses capacités relationnelles. Il est facile de se détourner de l’essentiel, lorsqu’il s’agit de soins de confort, notamment avec le raffinement de l’approche pharmacologique qu’il est possible d’instaurer chez les personnes mourantes. Il est primordial, avant d’aller plus loin, de rappeler certains éléments de réflexion de Léveillé :
Mais qu’est-ce que soigner ? C’est « avoir soin », c’est « prendre soin ». Et prendre soin d’une personne, c’est être préoccupé par toutes les dimensions de son être. Lorsque nous donnons cette portée à nos soins, nous ne pouvons faire autrement, ce faisant, que d’accompagner le résident dans cette étape si importante de sa vie. Mais, qu’est-ce qu’accompagner ? Accompagner, c’est « aller quelque part » avec quelqu’un. C’est « être avec ». Or, y a-t-il un temps plus intime et plus privilégié pour « être avec » que tous ces moments où nous prodiguons des soins à quelqu’un qui va mourir ? Réalisons-nous bien que les soins que nous donnons sont une période privilégiée d’accompagnement ? […] Ces soins de confort comprennent une panoplie d’interventions qui permettent au soignant de deviner, de détecter, de pressentir et d’identifier les inconforts ainsi que de proposer, d’appliquer voire même d’inventer des solutions pour les prévenir ou y remédier. (Léveillé, 2003)
Place de la sophrologie en soins palliatifs
L'accompagnement par la sophrologie va aider les patients à retrouver toute leur place en temps que personne et non en tant que malade pour les mettre en position combattive. La sophrologie va leur permettre de mettre de la distance avec la maladie et les thérapeutiques et garder la dignité d'être humain, personne à part entière et non objet de la maladie.
Un travail est effectué sur l'image du corps par la relaxation , la détente et la réappropriation de son image corporelle.
Des exercices ont pour but de privilégier et positiver un avenir proche et accessible (techniques de visualisation).
De même ces techniques permettent d'appréhender des soins ou prises en charge douloureuses ou inconfortables avec plus de distance et de maîtrise de Soi.